Le samedi 25 mai 2024 de 9H30 à 17H30

Nous vous proposons un questionnement, une exploration de la naissance à aujourd’hui, une invitation à aller à la découverte de vous-même, de cette identité de « femme »…

Une connexion aux mouvements de vie qui vous ont traversées et ont déposé leurs empreintes, aux changements, aux périodes de transition qui vous ont façonnées…

L’atelier des possibles, un espace pour engager votre parole et oser, en toute liberté, en toute confiance.

J’organise cet atelier en collaboration avec Patricia Bouvier Cortesi, Gestalt Thérapeute Praticienne en Art Thérapie.

A la rencontre de 3 cycles de votre vie de femme

Un jour je suis née,
Aujourd’hui je suis là,
Et demain…

 Comment me suis-je construite ? Comment mon environnement m’a forgé et me conditionne aujourd’hui ? quelle femme suis-je aujourd’hui ? Dans le fond, qu’est-ce-que cela signifie pour moi « être femme » ?

L’atelier se vivra en groupe, ce qui permettra d’entendre l’autre dans son vécu avec respect et bienveillance : un groupe exclusivement féminin de 8 à 10 femmes.

Deux pratiques seront articulées, l’une corporelle et l’autre liée à l’utilisation de médiateurs tel que l’écriture, le journal créatif, le collage, la trajectoire de vie.

Aucune connaissance ou expérience particulière n’est nécessaire, venez juste telle que vous êtes.

Modalités

L’atelier se déroulera sur 1 journée: samedi 25 mai 2024

De 9H30 à 17H30, une heure de repas partagé dans les jardins.

Tarifs : 110 euros

Nous vous accueillerons à la Maison du Grand Pré – 18 impasse du Grand Pré à Chavanod.  Un lieu apaisant en pleine nature.

Me contacter pour toute information complémentaire.

Le dérèglement climatique provoque incendies, sécheresses et canicules. Les évènements chahutent nos émotions, alimentent la peur d’un avenir qui s’assombrit. L’éco-anxiété se manifeste par tous les symptômes habituels de l’angoisse.

• Troubles du sommeil
• Troubles digestifs
• troubles de la concentration.

Ainsi qu’une inquiétude pour l’avenir, une difficulté à se projeter, une insécurité majeure qui touchent majoritairement les 15-30 ans. Se rajoute la colère à l’égard de ceux qui n’agissent pas, un sentiment d’impuissance et la culpabilité.

Il existe une éco-anxiété normale et utile qu’il ne faut pas médicaliser. Elle permet d’agir.

Mais si les symptômes d’anxiété deviennent handicapants et perturbent la qualité de vie, il est important d’en parler à des professionnels de santé.

L’éco-anxiété plus qu’une maladie est une sensibilité, un rapport au monde, un état d’âme.

Des solutions pour tenir le coup

• Du coté des professionnels il est important d’accueillir la parole, écouter le motif de la peur qui est légitime, ne pas la relativiser.
• Du coté de la personne il est essentiel d’agir . Trouver une action juste, adéquate pour soi. Par exemple s’engager dans une association de défense de la nature ou dans une action en faveur de l’environnement. Cela permet de sortir d’un sentiment d’impuissance et d’isolement.

Dans quel état sortons nous du confinement ?. Quelles traces laissera-t-il sur notre psychisme, sur nos propres corps et sur le corps social ?.

Eviter les autres dans la rue, craindre de les toucher, porter un masque, se méfier des portes ou de la foule, faire son deuil….C’est toute notre vie intime et sociale que nous allons devoir réinventer. En effet c’est par le toucher que nous tissons du lien, que nous partageons nos peines et nos joies. Si nous ne pouvons pas pleurer ensemble aux enterrements ou faire la fête ensemble aux mariages, ces événements ne sont plus que l’ombre d’eux même. La poignée de main, la bise et l’étreinte sont autant de gestes qui marquent l’intensité de nos liens. Le covid19 en nous en empêchant, nous montre l’importance du toucher dans les relations aux autres. Avec les amis les plus proches et la famille, il y a en permanence des contacts volontaires, des gestes, des caresses auxquels nous ne prêtons pas attention consciemment.

Le contact, la vie en société, la convivialité ont été mis à mal. Nous avons vécu une rupture de liens entre les générations sur la base de « je protège mes parents, je protège mes grands parents, je protège les personnes fragiles, je me protège… ». Protection indispensable et opérante, puisqu’elle a empêché des milliers de morts, la solidarité a joué.

Et maintenant…. les cafés, les restaurants, les cinémas, les théâtres ont ouvert. Des lieux de retrouvailles que l’on va appréhender en respectant les gestes barrières. Soyons innovants, saisissons nous de ces espaces pour les investir différemment, mais avec toujours autant de plaisir, de joie. Regardons l’autre avec l’envie de faire de nouveau communauté.

La période qui s’ouvre sera pleine d’incertitude, mais nous sommes en capacité de penser une société et une économie plus solidaires.

L’atelier des possibles change de formule, il se déroulera sur un weekend.

L’atelier des possibles, quand les mouvements vous incitent à oser… C’est une invitation à se connecter aux mouvements de vie qui vous ont traversé, qui ont déposé leurs empreintes. Une proposition à vous relier à votre corps, son histoire, entre itinérance et errance à travers trois cycles de votre vie de femme.

• Un jour je suis née
• Aujourd’hui je suis là
• Et demain

L’atelier se vivra en groupe. Des médiateurs vous seront proposés, tel que l’écriture, le collage, l’argile, la photo. J’anime cet atelier en co-animation avec une art thérapeute. Nous vous accueillerons au 1 rue de l’Industrie à Annecy de 9h30 à 17h30.

Des dates vous seront proposées prochainement

Danser Résister, Danser pour résister

En janvier 2015, suite aux attentats à Paris, une danseuse et chercheuse en art, Nadia Valdori-Gauthier décide d’agir. Elle s’engage dans un acte de résistance poétique : une minute de danse par jour.

Son travail de recherche et de création sur la performance l’amène naturellement à tenter, explorer, expérimenter. Elle commence à danser le 14 janvier 2015, et le fera pendant 1001 jours consécutifs. Une action quotidienne petite mais réelle et répétée, libre, gratuite. Elle danse hors de ces espaces habituels de danse, pour ne pas céder à l’anesthésie, la peur. Danser résister.

Ses danses sont filmées et postées en ligne le jour même, et l’ensemble fait une oeuvre que l’on retrouve dans un livre joyeux, déjanté, émouvant, mais surtout, ce qui se dessine sous nos yeux, c’est qu’un acte individuel, vient s’inscrire collectivement.

« Goutte à goutte l’eau finit par traverser la pierre » proverbe chinois qui signifie qu’une action minime et répétée peut finir par avoir un grand effet.

Il démontre comment le mot, la mise en paroles, l’écriture et la lecture accompagnent, soignent et changent nos vies. C’est la parole parlée et la parole écrite qui permet d’évoluer, et de métamorphoser la souffrance « depuis que j’ai fait récit de mon malheur, que je l’ai écrit, que je l’ai mis en mots, je le vois autrement ».

La réduction des coûts, l’accélération des cadences, la flexibilité et l’optimisation à outrance malmènent ces salariés qui ne sont pas entendus. Pourtant ils aiment leur travail, mais ne le supporte plus. Ils sont en arrêt maladie, mais ils veulent reprendre au plus vite, malgré un corps défaillant et souffrant. Le physique, mais également le psychique sont atteints. La culpabilité est très présente, et la honte de ne pas y arriver, de ne plus y arriver. La réorganisation du travail les renvoient à leurs impossibilités.

Il faut entendre le récit de ses salariés qui ne trouvent pas d’espace ou être entendu, qui vivent une solitude extrême.

A voir et à revoir ( Envoyé spécial du 11 avril 2019).

« Café Causette »
Nouveauté 2019

Enfin, je peux me poser … Chut !!!  je réfléchis….

Café Psy – Café causette, c’est un groupe de paroles pour les femmes. C’est l’occasion de prendre un temps pour se parler, pour être ensemble. Des supports sont proposés pour libérer la parole.

Parce que les femmes aiment prendre du temps, mais qu’elles n’ont pas le temps.
Parce que les femmes aiment être ensemble.

Je vous propose un espace pour échanger, vous poser, vous raconter. Au fil des rencontres, nous aborderons différents thèmes.

•  Ma vie de femme
• C’est quoi une femme aujourd’hui
• Mes talents-Mes envies-Mes projets
• Le sac des femmes « je vide mon sac »

Déroulement d’un atelier

Différents supports d’aide à la mise en paroles sont proposés : la photo, les collages, l’écriture, la chanson, le théâtre, et les supports de la sociologie clinique (arbre généalogique, ligne de vie, prénom…).

Dates et Horaires

• Le 1er samedi de chaque mois de 9h30 à 16h
• Les ateliers débuteront le samedi 2 mars 2019.

Tarifs :

• 80 euros la journée

Face à ces injonctions, les individus sont soumis à de très fortes tensions qui engendrent du stress, du mal-être et peuvent déboucher sur un burnout. La France bat à la fois le record de productivité horaire, et celui du nombre de suicides au travail.

Danger de burnout – Surtout, ne restez pas seuls

Vous vous sentez en danger, vous ne prenez plus le temps de déjeuner, vos horaires se rallongent, vous n’arrivez plus à suivre les cadences. Votre travail vous obsède, devient votre sujet principal de conversation. Vous commencez à avoir des insomnies. Vos proches commencent à saturer.

Voilà autant de signes qui indiquent une possible souffrance au travail, un risque de burnout.

Dans un cas de souffrance au travail, se faire accompagner par un professionnel est déterminant. Si vous êtes concernés, surtout ne restez pas seuls,  penser à consulter en cas de souffrance au travail

Besoin d’information, l’association DCTH peut vous aider

L’association Diffusion des Connaissances sur le Travail Humain (DCTH) s’est donné pour but la mise en valeur des connaissances sur la notion de travail, sur sa centralité dans la construction de l’identité humaine et du lien social. Elle s’appuie sur la mise en réseau des consultations spécialisées dans la prise en charge de la souffrance au travail, et cherche à sensibiliser et informer tous les acteurs du monde du travail. Sur son site internet vous trouverez des informations qui pourront vous aider.

En particulier, l’association met à disposition des guides destinés aux salariés ainsi qu’aux médecins et aux acteurs de l’entreprise.